Réveillée tot mais avec la patate pour affronter la fournaise, départ vers 8h30 avec une petite brioche dans le ventre, pour la gare routière de Didube…
Pas de minibus pour Gori mais un véhicule 7 places, nickel, déposée au pied du musée Staline en moins d’une heure et c’était confortable. Mes souvenirs sur Staline remontaient à assez loin (28 ans !), j’ai donc fait un rafraîchissement express durant le trajet, l’avantage d’avoir internet. Mon hypothèse de l’autre jour comme quoi Staline avait peut être favorisé son pays de naissance était erronée car Staline ne faisait jamais de cadeau à personne, même à sa propre famille… Le musée est un superbe bâtiment construit à sa gloire pendant l’été communiste et n’attire visiblement plus que les touristes. Que des portraits de lui, des médailles, des photos, à noter qu’il était plutôt beau garçon quand il était jeune ! 🙂 concernant les autres curiosités à l’extérieur, on trouve sa maison natale enchassée dans une sorte de pavillon et son wagon de train privé avec salle de bain.
J’y ai passé une petite heure, pour rentabiliser le déplacement, j’ai fait la grimpette jusqu’à la forteresse au sommet de la ville, un peu en ruines mais en cours de réparation. Et surtout j’ai arpenté les rues où s’étendait un grand marché jusqu’au marché lui même, comme j’aime, pas de touristes, que du local… Parmi les produits inattendus, une vraie spécialité de café, en vrac en grain, moulu à la demande, pareil pour la farine, sinon les classiques fruits, légumes, herbes (hum l’odeur de la coriandre), les poulets et les côtes de boeuf aussi…
Ca m’avait ouvert l’appétit, donc bière et Khinkalis, au fromage cette fois, avant de reprendre un minibus pour Tbilissi avec une attente minimale de 15 mn. Par contre, une fois arrivée à l’hôtel vers 16h, gros coup de chaud, une sieste s’imposait mais au réveil, une bonne migraine ne voulait pas partir malgré la prise des cachets adéquats. A 20h, je me suis forcée à bouger, arrêt massage au coin de la rue, une heure de relaxation qui ont fait partir la bête, ce qui fait que j’ai pu profiter de mon dernier repas, agneau-frites-crêpes ! Pour solder ma carte de transport, un dernier aller retour en téléphérique au sommet de la ville admirer les lumières de Tbilissi avant de dormir un peu, décollage à 6h30 demain matin.
Une réflexion sur « Tbilissi-Gori-Tbilissi »
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Bonjour Pascale
Fidèle lectrice de tes voyages, je suis venue chercher de nouvelles idées sur ton blog comme souvent.
La Géorgie ! C’est vraiment une idée qui m’a surprise.
Je ne trouve plus sur ton site les pages que tu faisais autrefois du genre le « bilan de mon voyage », « j’ai aimé », « j’ai pas aimé », des pages avec la liste de tes hôtels… Si tu as les liens que je ne trouve pas sur le blog peux tu m’indiquer où et comment les trouver. J’aimais bien quand tu donnais tes avis, tes compte-rendus perso…
J’ai vu que tu as mis Oman dans la liste à droite, février 2019 ? Je ne trouve pas tes pages.
Cet hiver prochain, tu fais quel voyage alors ?