N’ayant pas de voiture et ne souhaitant pas non plus prendre un taxi, il ne me reste plus que mes pieds pour avancer ! Il fait une chaleur torride mais heureusement, on peut longer la plage où l’air est plus frais.
Au bout d’une bonne heure, j’arrive enfin à Toubab Dialaw. C’est sec de chez sec. Il y a un puits où toutes les femmes se pressent chercher l’eau, je me rendrais compte plus tard qu’il est cadenassé hors des périodes d’ouverture.
L’architecture des maisons est plus que sympa (incrustation de coquillages) et en revenant, je longe un mini marais salant à la couleur rouge très surprenante.
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