Tempio Pausania – Olbia

Un dernier jour, remettre des chaussures de marche, sortir les polaires du fond du sac, se préparer au retour quoi… Pour attendre 17h, une remontée vers Olbia par des chemins touristiques est prévue. Première halte pour voir des oliviers millénaires (le plus vieil arbre d’europe nous a-t-on dit), ouais, rien d’exceptionnel mais tellement difficile à trouver…Nous avons eu aujourd’hui notre plus grand nombre de contacts avec des italiens, essentiellement pour nous demander le chemin des oliviers !
Nous continuons ensuite sur Porto Cervo pour visiter une cave (Sarrau) mais l’aspect moderne et aseptisé nous a fait fuir et nous avons préféré grimper en haut du mont Moro pour la vue des alentours. Comme nous commençons à en avoir l’habitude, ca commence avec une petite route goudronnée qui laisse ensuite la place à un chemin de terre de plus en plus cabossé au fur et à mesure qu’on approche du sommet, à tel point qu’on finit à pieds ! Belle vue mais le temps est un peu couvert aujourd’hui et il y a un vent à décorner les boeufs !
Pour finir, visite express d’Olbia, quelques jolies ruelles et bâtiments mais que de restaurante, trattoria, enoteca etc… Dépose de la voiture à l’aéroport, aucun souci et embarquement pour Nantes.
Alors la Sardaigne, c’était comment ?
Déjà, contrairement à ce qu’on m’avait dit, c’est beau et pas du tout bétonné, une ile nature quoi…
Après, le fait de l’avoir visitée en Aout avec des températures assez chaudes, nous a plutôt cantonnés à des activités de farniente (et les plages valent le coup d’oeil !). Pour autant, les visites ne manquent pas (musées à gogo, sites nuragiques également), mais peu d’incontournables à la différence de la Sicile par exemple. A mon avis, l’ile est beaucoup plus agréable en mai-juin ou septembre-octobre, quand elle retrouve un climat plus frais et un peu moins de monde (encore qu’on ne se marche pas sur les pieds en aout si on se balade dans l’arrière pays).
Ensuite, la cuisine vaut vraiment le coup pour les amateurs de fromages et charcuteries notamment. On y retrouve aussi des pates, des viandes grillées et quelques patisseries (même si mes autres voyages en Italie m’ont laissé de meilleurs souvenirs de ce point de vue là). Les pains sont également remarquables à commencer par le « pane carrasso », fines galettes croquantes, sur une semaine, on peut en changer tous les jours. Nous avons également adoré les diners en agrotourisme, certes copieux (mieux vaut avoir zappé le déjeuner) mais si exhaustifs (jusqu’aux liqueurs !).
Finalement, ce sont les contacts avec les sardes qui manquent. Quelques uns, en contact, avec les touristes parlent le français mais sans parler italien, point de salut pour échanger. Ce n’est pas en même temps une spécificité locale…
Lac de Liscia
Lac de Liscia

Un dernier jour, remettre des chaussures de marche, sortir les polaires du fond du sac, se préparer au retour quoi… Pour attendre 17h, une remontée vers Olbia par des chemins touristiques est prévue. Première halte pour voir des oliviers millénaires (le plus vieil arbre d’europe nous a-t-on dit), ouais, rien d’exceptionnel mais tellement difficile à trouver, mais à côté d’un joli lac…Nous avons eu aujourd’hui notre plus grand nombre de contacts avec des italiens, essentiellement pour nous demander le chemin des oliviers !

Nous continuons ensuite sur Porto Cervo pour visiter une cave (Sarrau) mais l’aspect moderne et aseptisé nous a fait fuir et nous avons préféré grimper en haut du mont Moro pour la vue des alentours. Comme nous commençons à en avoir l’habitude, ca commence avec une petite route goudronnée qui laisse ensuite la place à un chemin de terre de plus en plus cabossé au fur et à mesure qu’on approche du sommet, à tel point qu’on finit à pieds ! Belle vue mais le temps est un peu couvert aujourd’hui et il y a un vent à décorner les boeufs !

Pour finir, visite express d’Olbia, quelques jolies ruelles et bâtiments mais que de restaurante, trattoria, enoteca etc… Dépose de la voiture à l’aéroport, aucun souci et embarquement pour Nantes.

Alors la Sardaigne, c’était comment ?

Déjà, contrairement à ce qu’on m’avait dit, c’est beau et pas du tout bétonné, une ile nature quoi…

Après, le fait de l’avoir visitée en Aout avec des températures assez chaudes, nous a plutôt cantonnés à des activités de farniente (et les plages valent le coup d’oeil !). Pour autant, les visites ne manquent pas (musées à gogo, sites nuragiques également), mais peu d’incontournables à la différence de la Sicile par exemple. A mon avis, l’ile est beaucoup plus agréable en mai-juin ou septembre-octobre, quand elle retrouve un climat plus frais et un peu moins de monde (encore qu’on ne se marche pas sur les pieds en aout si on se balade dans l’arrière pays).

Les voyages de Pascale

Ce blog constitue ma mémoire du voyage, j'aime à penser que vous voyagez en le lisant...

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