Journée tranquille en prévision, avec visite de la Oliva, et plage à El Cotillo, sans oublier de faire le plein d’essence !
Sur la route de la Oliva, la carte indiquait un moulin à vent, j’ai voulu faire la maligne en prenant une route de campagne et je me suis retrouvée 3km sur une piste non revêtue. J’avais hâte d’en sortir et j’ai croisé les doigts pour ne pas crever !
Le moulin valait le coup sous la belle lumière du matin, avec les volcans en fond. Ensuite, petite déception sur la Oliva, capitale de l’île détrônée par Puerto Del Rosario. Je m’attendais à mieux qu’un centre ville étalé, au moins à un Betancuria bis. Que nenni… J’ai fait un tour au marché, sympa mais pas fou fou. J’ai craqué pour un bel ananas Canarien.
Heureusement, la maison des colonels a sauvé la mise, une belle maison agréable à visiter avec des explications intéressantes sur ces 7 colonels qui dirigeaient l’île.
La visite était complétée par une exposition d’art un peu effrayante de realisme au sous sol (sur la mort) , et des vidéos sur des personnalités de Fuerteventura, c’était bien sympa, j’en ai regardé deux, une sur un prof visiblement très apprécié de ses élèves, l’autre sur un ancien voyageur surfeur. C’était sans chichi, sur des personnes qui avaient l’air très sympathiques et normales.
Après ça, il était temps de partir à la plage avec un petit passage au phare d’El Cotillo. Mon choix s’est porté sur la plage de la Concha, enfin une plage sans vague démesurée à l’eau turquoise, par contre, le vent était toujours aussi fort, je me suis mise à l’abri d’une dune.
Vers 16h30, après un petit bain, j’ai quand même eu un peu frais, je n’avais pas envie d’une glace mais d’un chocolat chaud !
Retour à la résidence pour une douche chaude avant de repartir dîner d’un ragout de chèvre excellent, suivi d’un assortiment de fromages avec différents affinages.
Je me suis régalée pour mon dernier vrai dîner.